Les bailleurs des fonds ont naturellement la responsabilité de rationaliser leur financement dans les situations d’urgence humanitaire afin de garantir que le soutien qu’ils apportent correspond aux besoins. À cet égard, de nombreux bailleurs des fonds demandent comme condition préalable aux acteurs chargés de lutter contre la violence basée sur le genre (VBG) des données de prévalence sur l’ampleur de la VBG dans des contextes particuliers. Cela s’est particulièrement vérifié dans le contexte de la pandémie de COVID-19, où les chiffres semblent motiver l’action des donateurs.